L'incorrigible (chambre de Ricardo)

Messages : 14 Date d'inscription : 22/08/2012

Depuis le temps que Ricardo était dans l’hôtel, il avait en masse eu le temps de décorer sa chambre de trouvaille qu'il avait récolté au fil du temps. D'abords, son lit n'était pas une simple paillasse, mais plutôt un matelas gonflable de grandeur queen sur lequel reposait plusieurs draps minces. Aux mur, la tapisserie prenait plusieurs couleur, mais ceux-ci étaient tous chaudes soit dans les teinte d'orange, rouge et jaune. La lumière du plafond étant éclater depuis longtemps, Ricardo n'avait jamais demander à la changer. Il préférait éclairer sa chambre d'une simple lampe qui une fois allumer pouvait donner un air exotique, voir érotique à la pièce. Chose plutôt attendu de ce jeune homme qui passait le plus clair de son temps à senquirrir au-près des dames qu'à faire son travaille.

D’ailleurs, une de celle-ci venait de quitter la pièce un grand sourire au lèvres, tandis que Ricardo remettait sa chemise qu'il décida de ne pas attacher à cause de la chaleur. Se rassoyant sur son lit, il s'alluma un cigarette qu'il avait voler à lune des servante et en respira un bon coup. Ce n'était pas dans ses habitude de fumer, mais de temps en temps, cela faisait toujours un bien fou.

La porte de chambre ouverte, Ricardo pouvoir voir qui passait dans les couloirs et les dames voyant la porte ouverte savaient que Ricardo avait du temps à leur accorder. Du temps qui normalement se terminait dans le lit en ébat plus ou moins sauvage dépendant des goût de ses visiteuse.

Messages : 24 Date d'inscription : 24/08/2012

«Et c'est toujours moi qui a les tâches les plus idiotes» pensa-t-elle.

Alice avait les bras chargés d'une gigantesque piles de produits médicaux qu'elle devait aller porter au bureau du docteur. Elle était en bonne condition physique, mais n'avait pas une grande force. Elle allait tout doucement pour ne pas renverser son chargement et aussi elle ne voulait pas réveiller les personnes qui dormaient vu qu'elle passait dans le passage des chambres. Tout allait très bien pour le moment. Elle était rendu à la moitier du parcour quand soudain, elle trébucha dans ses propres pieds. Tous les produits s'écrasèrent sur le sol dans un bruit sourd.

«Bravo Alice!! Encore une fois, tu as fait une gaffe»

Elle se dépêcha pour ramasser ses produits avant que ceux-ci ne soient plus stériles, mais plusieurs contenants avec des produits se sont ouverts pendant la chute, répendant sur le sol, du sirop contre la toux et autres médicaments. De plus, elle remarqua qu'il y avait une porte ouvert avec un homme qui la regardait. Il lui fit un sourrire en coin. Elle ne lui rendit pas son sourrire.

«Génial, j'ai encore fait une folle de moi!!!»

Journal de Bureau,
Édition 36,

À croire que personne ne travaillait réellement dans cet hôtel. À croire que seul moi ne peux me permettre du répit. À croire que seule ma singulière personne puisse plier sous les tâches administratives de cet établissement. Ce ne serait surtout pas le directeur et propriétaire qui irait se salir les doigts dans la paperasse. Non! C’est bel et bien mon travail que de s’assurer que l’hôtel roule! Et ça en devient désespérant lorsque l’on réalise qu’on est visiblement le seul à vraiment mettre la main à la pâte.

Je relevai la tête de la page que j’écrivais d’une lettre soignée, reposai ma plume dans l’encrier sans n’en laisser échapper une goutte et m’adossai plus confortablement dans mon fauteuil. Mon regard se perdit un moment dans le feu qui crépitait au fond du foyer, ma main droite lissant le dessus de cette cagoule qui me servait de visage. Mes yeux froids abordèrent hargneusement le paysage de mon bureau. Une tapisserie datant d’une ou deux décennies, des meubles des années cinquante et des bibelots traitant d’art abstrait. Le tout enseveli sous des montagnes de papier à écrire, de documents, de couvertures ainsi que de livres en tout genre.

Le bureau avait beau sembler immaculé, sur la table que j’utilisais pour écrire à se moment était branché plusieurs téléviseurs reliés au système de caméras que j’avais installé un peu partout dans l’hôtel.

Alors pourquoi ces lignes dans mon carnet de bord? À cause, bien sûr, de ce que je venais d’apercevoir à travers l’œil d’un de mes engins.
C’était la quatrième fille cette semaine et nous n’étions que mercredi. La quatrième femme à visiter la chambre de Ricardo Delacruz dans les heures passées le dîner du soir. Invraisemblable que cet homme possède un tel don pour attirer la gent féminine, mais nuisible à un point sévère. Tout le monde se devait de travailler, et Ricardo semblait croire qu’il pouvait faire exception à cette règle.

J’entrouvris le second tiroir de la droite de ma table de travail pour y glisser un œil inquisiteur. Mes trois cadeaux étaient toujours en place. Trois bijoux sauvés du passé que j’avais vécu à travers les systèmes d’espionnage français. Avec un pincement au cœur, j’en caressai un puis le glissai tendrement sous mon veston.

Un jour ils me seraient utiles, mais ne prenons pas de chances.

***
Je traversai les couloirs à la lumière tamisée telle une ombre jusqu’à arriver à une vingtaine de mètres de la chambre de l’individu que je venais rabrouer. Et comme de fait, il aurait été logique qu’aucune femme n’y soit présente. Mais la logique n’a pas sa place à l’hôtel Bongruau. Une servante, à quatre pattes au sol, un paquet de médicaments, d’antidotes et de désinfectants renversés devant elle. Elle semblait regarder à l’intérieur de la chambre d’un œil incertain, drôle de situation. Dans un silence absolu, résultat de nombreuses années d’infiltration, je me glissai sur le mur, m’y accotai et tendis l’oreille. Comme si l’obscurité tentait de m’envelopper, je cessai presque de respirer alors que la scène continuait de se dérouler sous mon regard glacial.

Messages : 14 Date d'inscription : 22/08/2012

Une des infirmière de l’hôtel passa dans le couloir. Selon le bruit de ses pas, Ricardo pouvait devnier que celle-ci avait beaucoup de choses dans ses bras et avait de la difficulté à avancer d'un pas égal. Curieux, il sortit la tête de la chambre au moment ou la jeune femme perdis l'équilibre et répendit à terre l'ensemble des médicament. L'homme lui lança un sourire qui se voulait sympathisant, mais la jeune femme ne lui rendit nullement. C'était courant lors des gaffes. Toutefois, bon gentleman, Ricardo alla vers l'infirmière sans remarquer l'homme qui se cachait dans l'ombre pour lui proposer son aide.

-Sa doit être difficilé dé transporrté tou sé matériel seule. Besoin d'ouné coup dé main?

En même temps que de poser la question, Ricardo se pencha et ramassa le spillule éparpiller pour les donner à l'infirmière qui saura mieu les trié que lui. Puis sans faire ni une ni deux, il enleva sa chemise pour essuyé le sirop pour la toux qui se répendait dans le couloir.

-Téné. Commé cela, vous n'auré pas d'ennui avec lé conciergé Ségnorita. Mais pourrais-je savoir votre nom? Je ne vous avais pas vou, magnifique jeune fleur qué vous êtes.

Messages : 24 Date d'inscription : 24/08/2012

-Téné. Commé cela, vous n'auré pas d'ennui avec lé conciergé Ségnorita. Mais pourrais-je savoir votre nom? Je ne vous avais pas vou, magnifique jeune fleur qué vous êtes.

«Pathétique» pensa-t-elle. «Il essaye de me charmer»

Mais bon, un coup de main était bienvenu. Elle n'avait pas vu qu'il avait enlevé sa chemise. Lorsqu'elle leva les yeux, elle eu le souffle coupé. Un corps nu avec des beaux abdominaux bien découpés. Elle resta figée pendant quelques secondes avec la bouche grande ouverte. Elle secoua la tête afin de reprendre ses esprits, dison qu'elle n'avait pas été aussi proche d'un homme depuis.....euh.....qu'elle est née. Et oui, malgré sa beauté, elle préférait garder sa première fois avec l'homme de sa vie. Par contre, elle n'avait pu vraiment de chance de trouver l'homme parfait à cause de l'épidémie.....

-Euh.. je m'appelle Alice et oui, je suis souvent dans ma chambre et au cabinet du médecin pour soigner les blessures diverses... Et vous qui êtes vous??? demanda-t-elle.

Elle attendit sa réponse avec impatience, mais elle remarqua un homme dans l'ombre qui regardait se qu'elle fesait. Elle savait qui il était et elle le détestait, elle l'avait vu sur le quai. C'était lui qui l'avait dénoncé, mais elle préférait l'ignorer. C'était se technique lorsqu'elle était fâchée contre quelqu'un, elle attendait que l'autre vienne lui faire des excuses.

Bref, elle regarda le bel homme devant lui et elle décida de lui rendre son sourrire. Dison qu'il était très séduisant comme homme.

Messages : 14 Date d'inscription : 22/08/2012

Ricardo ne s'occupa pas de la réaction de la jeune infirmière. C'était courant chez les dames qui le voyait ainsi, mais il n'en profitais que rarement. À la place, en attendant sa réponse, il alla mettre sa chemise dans un panier à côté de sa chambre. Lorsqu'on lui donnera du lavage à faire il irai la laver en même temps que le reste du linge.

-Euh.. je m'appelle Alice et oui, je suis souvent dans ma chambre et au cabinet du médecin pour soigner les blessures diverses... Et vous qui êtes vous???

-Mi? Yé souis Ricardo hombré à tout faire dans cet hôtel dépuis.... ouné bonne moment déjrà.

Une fois les médicament ramasser, Ricardo se remit debout et aida Alice avec les médicaments. Il en prit plus que la moitié des médicaments et suivi Alice pour faire la livraison. UNe fois celle-ci terminer, L'homme ne laissa pas partir la jeune fille si rapidement.

-Allons allons, il est déjrà tard. Vous né dévé pas vous toué à la tache aussi. Venez avec moi vous détendre oune péti peu.

Elle était jeune et ne semblait pas avoir d'expérience. Ricardo ne la brusquerait pas. Il n'était pas ce genre d'homme. Il lui conterais probablement quelque truc, lui lierai son avenir et peut-être d'autre chose du même genre. Alice avait l'air tendu et cela lui ferais sans doute du bien d'oublier la situation dans laquelle ils étaient par sa... non ce ne l'était pas.

Messages : 24 Date d'inscription : 24/08/2012

-Allons allons, il est déjrà tard. Vous né dévé pas vous toué à la tache aussi. Venez avec moi vous détendre oune péti peu.

Les yeux d'Alice se transforma en 2 dollars. Un homme lui proposait d'aller avec lui pour se détendre...... Quelle sensation bizarre elle eue. Mais, elle avait un peu peur, car elle se remémora une rumeur qu'elle avait entendu. Un homme assez séduisant avec un accent, couchait avec presque toutes les filles de cette hôtel. Cet homme, c'était lui. Un jeune homme avec une telle réputation lui proposait de se détendre et elle savait très clairement comme cela allait finir. Il voulait surement faire un tour du chapeau et elle en serait une partie.....Tout d'un coup, elle eue un air dégoutée sur son visage et le regarda droit dans les yeux. Elle respira quelques coups et dit:

«Je vois, je vois. C'est vous cet homme qui couche avec toutes les femmes de cet hôtel!!!!!! Hum, voula qui est clair, vous voulez encore une fois prendre du bon temps. Très intéressant, mais je ne sais pas si je devrais prendre ceci comme un compliment ou comme une insulte. Je tiens à vous prévenir, je ne sera pas une autre de vos victimes, je préfères attendre de trouver le bon homme, donc vous pouvez faire une croix sur moi.»

Elle se leva brusquement et alla vers le comptoir. Elle se mit à ranger certains trucs na savant pas du tout s'il était encore là.

Messages : 14 Date d'inscription : 22/08/2012

«Je vois, je vois. C'est vous cet homme qui couche avec toutes les femmes de cet hôtel!!!!!! Hum, voula qui est clair, vous voulez encore une fois prendre du bon temps. Très intéressant, mais je ne sais pas si je devrais prendre ceci comme un compliment ou comme une insulte. Je tiens à vous prévenir, je ne sera pas une autre de vos victimes, je préfères attendre de trouver le bon homme, donc vous pouvez faire une croix sur moi.»

Ricardo vit avec plaisir que sa réputation n'avait pas baisser. Cela lui permettait de passer pour quelqu'un de facile à connaître sur le bout des doigts et c'est ce qu'il voulait. Il n'aimait pas qu'on vienne enquêté sur lui. Alors il utilisait cette technique pour décourager les fouinneur. Toutefois, il n'allait pas laisser se refus sans insisté un peu.

-Voyonne. Quelle idéa ess céla. Si c'est vrai qué yé couché avec boucoup dé ségnorita, mais sé ne sont pas des jouets. Chacune à sa personnalité et jramais yé né souportérai d'enne voir ouné souffrir. Cela va dé même pour vous.

su ses mots, il se rapprocha doucement d'elle tandis qu'elle rangeait les comprimé sur les étagères. Sans cris et gare, il lui pris la main et mis la paume vers plafond et avec son autre main glissa son doigt dans les fente de la peau d'alice.

-Longue ligne de vie, difficulté vécu, mais à une forte personnalité. Vous n'êtes pas le genre à aimer se faire marché sur les talond, mai pourtant vous faites ce que l'on vous dites si cela vous permet de survivre. Vous en avez vu des vertes et des pas mures, mais cela vous à rendu plus forte.

Ricardo lacha ensuite sa main.

-Je ne fais pas que coucher avec les dames. Yé dé nombreux talent cché

Messages : 24 Date d'inscription : 24/08/2012

-Longue ligne de vie, difficulté vécu, mais à une forte personnalité. Vous n'êtes pas le genre à aimer se faire marché sur les talond, mai pourtant vous faites ce que l'on vous dites si cela vous permet de survivre. Vous en avez vu des vertes et des pas mures, mais cela vous à rendu plus forte.

Ricardo lacha ensuite sa main.

-Je ne fais pas que coucher avec les dames. Yé dé nombreux talent cché

Très intéressant, un diseur de bonne aventure. Hum, dans la tête d'Alice, ces personnages étaient souvent des femmes, mais il y avait toujours une exception à la règle. Par contre, elle avait remarqué que pendant qu'il lui disait son passé, il avait perdu son accent........Elle n'aimait pas se faire manipuler et encore moins qu'on se moque d'elle.

«Un diseur de bonne aventure....Cela est très intérressant. Par contre, si je peux me permettre vous devriez faire attention à votre accent, vous commencez à le perdre»

Elle lui sourit comme pour le narquer.

«Par contre, vous savez plein de choses sur moi, mais je ne connais point de choses sur vous. Les choses que j'ai entendu sur vous sont tellement contracdictoire que je ne sais pas lesquelles il faut croire et n'ayez pas peur de moi, je sais très bien tenir un secret. Mais si vous avez peur, vous n'êtes pas obligé......»

Messages : 14 Date d'inscription : 22/08/2012

«Un diseur de bonne aventure....Cela est très intérressant. Par contre, si je peux me permettre vous devriez faire attention à votre accent, vous commencez à le perdre»

Ricardo fut surpris un moment, c'est vrai que lorsqu'il passait subitement d'une conversation à une autre, de temps en temps, il perdait son accent. Il devait faire plus attention. Cela faisait partie de lui et il ne voulait pas le perdre. Si cela arrivait, il ne saurait aucunement comment les autre employé de l’hôtel réagiraient. Mal à l'aise il frotta un peu sa nuque.

«Par contre, vous savez plein de choses sur moi, mais je ne connais point de choses sur vous. Les choses que j'ai entendu sur vous sont tellement contracdictoire que je ne sais pas lesquelles il faut croire et n'ayez pas peur de moi, je sais très bien tenir un secret. Mais si vous avez peur, vous n'êtes pas obligé......»

-C'est asser commpliqué. Pouur différencié lé vrai dou faux, il faudrait d'abrod savoiré cé qué vous savez sur moi.

Son regard était différent. Il n'était plus celui du joueur mais plutôt un des regards qui n e tin pas à avoir un interrogatoire. Il avait travailler fort pour en arrivé là et il ne voulait qu rien ne change. Du moins pour le moment. Puis le tout revint à la normal après quelque seconde, il venait de trouver la solution à son problème.

-Yé vien d'artiste ambulant. Nousavons échappé à la maladia pendan ouné bon bout. Mais elle nous a rattrappé. Yé suis lé seul quiai réussi à survivre. Mais contrairement à cé qué les autres disent, je n'ai pas attrapé lé virous. C'était justé ouné mauvaise grippe c'é jour là.

Messages : 24 Date d'inscription : 24/08/2012

-Yé vien d'artiste ambulant. Nous avons échappé à la maladia pendan ouné bon bout. Mais elle nous a rattrappé. Yé suis lé seul quiai réussi à survivre. Mais contrairement à cé qué les autres disent, je n'ai pas attrapé lé virous. C'était justé ouné mauvaise grippe c'é jour là.

«Ah bon, donc la rumeur selon laquelle vous seriez le propriétaire serait fausse. Dommage, j'aurais bien voulu que quelqu'un comme le propriétaire me fasse la visite de l'hôtel, car je passe presque tout mon temps dans ma chambre ou dans mon infirmerie.»

Et oui, Alice essayait de le charmer. Elle aimait beaucoup la sensation de sécurité qu'elle éprouvait lorsqu'elle était avec lui. Il avait quelque chose de rassurant, mais elle ne pouvait dire ce que c'était en particulier. De plus, ce Ricardo était tout à fait son genre, grand, musclé, avec un côté exotique et une petite pointe d'arrogance. Par contre, elle n'était pas sure que sa technique marchait, il avait du voir beaucoup de femmes qui avaient essayer de le charmer. Mais, en même temps, elle ne voulait pas lui faire des faux à croire, elle ne coucherait pas avec lui le premier soir ni la première semaine!!!!!

Elle s'appuya sur les étagères et le regarda dans les yeux. Puis, son regard décendit sur ses lèvres belles et pulpeuses, mais elle se dépêcha de regarder ses pieds. Elle pensa :

«J'espère qu'il n'a pas remarqué!!!!!»

«Si vous voulez, vous pouvez me montrer quelques tours que vous fesiez lorsque vous étiez un aritste ambulant.» dit-elle.

Messages : 14 Date d'inscription : 22/08/2012

«Ah bon, donc la rumeur selon laquelle vous seriez le propriétaire serait fausse. Dommage, j'aurais bien voulu que quelqu'un comme le propriétaire me fasse la visite de l'hôtel, car je passe presque tout mon temps dans ma chambre ou dans mon infirmerie.»

Une minute elle le repoussait et la suivante elle essayait de le cruiser? Ricardo apprécia. Il aimait les jeux d'amour temps que cela ne blessais personne. Il était un véritable gentleman préférant se blesser que de voir pleurer une femme par sa faute. Il la regarda plus attentivement. Elle avait un véritable charme, mais la discutions plus ou moins tendu qu'il avait avec elle lui laissait croire qu'elle avait eu des mauvaise rencontre avec la gente masculine. Toutefois, elle le trouvais peut-être de son goût.

Puis sortant de ses penser, Ricardo remarqua que la tête de Alicia dessendit rapidement vers le sol. Elle l'admirait... que c'était mignon. Toutefois il ne dit rien et fit comme si il n'avait rien remarquer d’inhabituel.

«Si vous voulez, vous pouvez me montrer quelques tours que vous fesiez lorsque vous étiez un aritste ambulant.»

-Mais bienne sour. Attender ouné moment.

Ricardo partie rapidement chercher quelque chose dans sa chambre et revint avec quelques pièce de monnaie. Les présentant rapidement à Alicia, Il les fit plier et les tendis ensuite à Alicia qui fut incapable de le faire. Suite à cela, il repris les pièce et les lança dans les air, mais aucune d'elle retomba sur le sol. Puis il les fit réaparaître à divers endroit proche du corps d'alicia. Oreille, cou, coude, manche et se permit même d'en reprendre une très proche de son décolleté.

-C'est le B-A-BA dé la troup où y'étais.

Messages : 24 Date d'inscription : 24/08/2012

Alice l'admirait faire disparaître et apparaître des pièces. Lorsqu'il glissa sa main vers son décolleté, elle eue des frissons qui partient de son cou, passant par sa colonne et alla jusqu'à ses pieds. Elle appréciat ceci.

-C'est le B-A-BA dé la troup où y'était, dit-il.

Elle trouvait la magie assez fascinante car toute sa vie, tout pouvait être expliquer par des faits scientifiques, mais la magie restait un mystère pour elle. Elle s'approcha lentement de lui. Leurs lèvres étaient proches, mais elle le contourna pour aller ranger ses affaires. Elle l'avoua, elle l'avait fait pour le narguer. Elle trouva cela amusant et elle adorait taquiner les personnes. Elle le regarda discrètement pour voir sa réaction, elle vut qu'il avait un sourir et elle se dit qu'elle avait réussit son plan. Elle se tourna lentement vers lui et dit:

«J'ai beaucoup apprécier, vous êtes talentueux. Dison que je n'ai rien à vous enseignez, à part les sutures. Je pourrais aussi vous enseignez quelques techniques d'informatiques, mais dison que cela risque guère de vous intéressez. Je pourrais aussi vous racontez un peu de ma vie, mais vous en savez déjà une partie. C'est à vous de décider.»

Même si son passé n'était pas un des plus beaux, elle avait aucun problème d'en parler.

Elle le regarda droit dans les yeux, il était très joli garçon et appréciait chaque instant qu'elle passait à le regarder.

» Ricardo Delacruz
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