Le virus est progressif. Et cruel. Il n’épargne personne. Hommes, femmes, enfants, animaux, nous sommes tous ses victimes. Lentement, très lentement, votre chair, vos os, vos organes, tout transforme en peau. La douleur est atroce, insoutenable. Peu à peu, certaines parties de votre corps, en commençant par les extrémités, ne forment qu’un mince parchemin de peau. Dès lors, ce morceau de fragile épiderme, au contact de l’azote que contient l’air en énorme quantité, créé un gaz invisible, transmetteur de la maladie. Le vent le charrie aux quatre coins de la planète. Cependant, le vent n'est pas le seul propagateur. Les fluides corporels, à l'instars du SIDA, sont propablement les plus dangereux, vu qu'ils sont plus suptiles. Le virus se propage, créant plus de morts que toutes les autres grandes maladies que la Terre a connues mises ensembles.
Nous étions plus de 6 milliards, nous ne sommes plus qu’un milliard et demi. Et ça ne fait que commencer…