2040. Le scientifique Samuel Pouliot du CNRS, le Centre National de la Recherche Scientifique, rédige un compte-rendu au ministère de la Santé, du Travail et du Bien-être public sur la réussite de la création du virus et de l'antiviral, l'antidote. Ceux-ci sont conservés dans un congélateur très basse température indépendant et celui-ci ne peux s'ouvrir sans un mot de passe et une authentification biométrique. Ce virus fut créé dans l'unique but de développer un vaccin commercial. C'était la première fois qu'on réussissait la création d'un antiviral efficace contre un virus meurtrier comme celui-ci. S'il fut en possession de personnes avec de mauvaises conscentience, cele aurait pu être la fin du monde. Comme il était bien gardé, personne n'aurait pu s'en emparé... C'est ce qu'on croyait.
2050. Le monde est totalement dévasté. Les villes n'ont même plus de noms, c'est pour peu dire. Pour ajouter une touche effrayante supplémentaire, une brume pesait et persistait à rester sur la totalité des terres. Plus des trois quarts de la population terrestre n'a tout simplement pas survécu à ce virus développé durant au moins vingts bonnes années par le scientifique Pouliot. Certains endroits faisait toujours marché, mais comme le simple fait de vivre devenait un défi, on se serrait généralement les coudes sans devoir rien à personne. Les gens n'étaient plus clients mais rescapés, comme dans l'Hôtel Bongruau, et c'est dans cet endroit que vous apprendrez à vivre en société, ou mourrir en solitaire.