Rosalyne Devaux

Nom : Rosalyne Devaux
Sexe : Féminin
Âge : 29 ans

Description physique : De taille moyenne mais d’une minceur effrayante, il est évident que Rosalyne ne fait plus d’exercice physique depuis fort longtemps. Bien qu’elle ait la peau sur les os, on voit bien qu’autrefois il s’y trouvait des muscles. Sous sa peau claire circule du sang noir. Il est donc évident que sur certaines parties de sa peau, on les voit, ces veines noires. Cet aspect de son infection ne fait que la rendre encore plus fragile. Assisse dans sa chaise roulante, tête baissée vers le bas, cet air constamment mélancolique dans le bleu de ses yeux, on sent dans tout son corps que la maladie l’a chamboulée. Ses cheveux court blond, son nez et ses traits fin termine son portrait triste. Elle porte toujours ce long chandail blanc à capuche. Cachant éternellement son visage, celle-ci ne fait qu'amplifier l'allure malade de Rosalyne. Montant de son cou jusqu'à ses lèvres, c'est l'endroit où l'on voit le plus les veines noires. Enfin, ça et sur ses poignets. Sur son poignet droit, un bandage, dont personne ne se souvient l’apparition. Comme si elle l’avait toujours porté.
Signe particulier : Elle est en chaise roulante. M'enfin, la majorité du temps. Elle a aussi d'atroce crise d'asthme.

Description psychologique : timide et réservée, Rosalyne ne prend pas tant de place dans la vie de l’hôtel. Elle ne fait que regarder, sauf lorsqu’une conversation l’intéresse vraiment. Chaque son qu’elle doit faire lui coûte cher, son souffle est si aisément épuisable qu’elle essaie de ne pas gaspiller sa salive. Le reste, vous le découvrirez, sûrement.

Histoire : Arrivée en catastrophe dans l’hôtel en l’an 2043, Rosalyne montrait déjà des signes d’infection. Une sage-femme, dieu seul sait pourquoi, décida de tenter de prendre soin de la jeune femme jusqu’à sa mort. Contre toutes attentes, au lieu de la tuer, le virus eut un effet contraire. Dans l’hôtel, c’était une première. Le corps de Rosalyne, ou plutôt son sang, muta. S’épaississant à un tel point qu’il circulait extrêmement lentement dans ses veines. Si lentement que l’oxygène se rendait difficilement à ses poumons. Dès lors, le plus petit effort physique manquait la tuer, si bien qu’elle termina en chaise roulante. Ce sang si épais qui coulait dans ses veines se teinta de noir, faisant paraître sous cette peau blanchâtre tout son circuit sanguin. C’est ainsi que depuis lors, elle ère dans les couloirs de l’auberge sur cette chaise, tentant tant bien que mal de faire passer le temps.

Profession: Sa réelle profession, nul ne la connait. Cependant, dans l’hôtel, elle s’occupe du lavage et de plier le linge.

Fiche approuvée ma chère