Nom : Scarlett.
Sexe : Femme
Âge : 36 ans
Description physique : Elle s'avançait sur la scène, tous les regards lui étaient destinés, on la scrutait de haut en bas. Les hommes commençèrent à hurler sont nom sous un rytme suivit « Lady Scarlett! Lady Scarlett! » On la surnommait ainsi comme elle était toujours vêtue de rouge. Ses cheveux étaient blonds, et c'était sa couleur naturelle, et frisés, lui descendant un peu plus bas que les seins. Sa peau était pâle et ses joues rosées, mais pour cela elle passait quelques heures le matin pour amener son teint à satifaction personnelle. Ses ongles étaient d'un rouge vif tout comme ses lèvres qu'elle beurrait de cette couleur le matin. Lady Scarlett avait des yeux bleus avec de grands cils, et une ligne noir suivait le dessus de ses paupières. Pour accentuer le cliché, elle avait un point noir sur le côté de la bouche, mais personne ne savait vraiment si c'était naturel. Elle était un objet de désir, et elle usait de ses charmes pour avoir ce qu'elle voulait. Lady s'avança sur la scène et fit une révérance ce qui ralluma la foule.
Signe particulier : Scarlett avait une bien fâcheuse manie: fûmer. Mais c'est tout.
Description psychologique : Elle leva les bras en l'air, pointa les mains vers le sol, et commença à danser au rytme de la musique qui résonnait et se mêlait aux cris de la foule.
« J'adore ce que je fais. Les gens m'aiment, et c'est une chose qui comble le vide d'une grande partie de ma vie. Je veux tout faire pour plaire aux autres, et généralement cela me plait aussi. Je suis une Lady. »
Scarlett leva une jambe en l'air, la foule en redemandait. Le long de la scène, elle bougeait de droite à gauche, sourire aux lèvres.
« J'ai toujours ce que je veux, j'arrive toujours à l'obtenir. Je n'ai besoin de rien d'autre au monde que ce que j'ai présentement, c'est à dire le regard des gens qui me regardent au Moulin Rouge. Je ne sais pas où vit ma famille et je m'en fiche, c'était à elle de ne pas me laisser partir. »
Elle continuait de faire ce qu'on lui demandait. Il n'était pas possible de décrire ce qu'elle ressentait lorsqu'on l'applaudissait, ou lorsque l'on criait son nom, c'était pour elle une sensation de bonheur extrème, c'était tout ce qu'elle demandait. Certain la clarifiait comme étant une personne en manque d'attention, d'autres une fille facile. Enfin, les deux ramenait à la même chose.
Histoire :
Lady se promenait au volant de sa Jaguar en écoutant « What is love? », chanson qui passait à Radio Fun, et elle criait à tu-tête « Baby don't hurt me ! ». La musique se coupa pour être remplacée pour une voix d'homme totalement neutre, comme tout bon journaliste.
- Nous interompons les postes radios pour vous mettre au courant d'informations importantes.
Elle était arrêtée à un feu rouge et son foulard de soie commençaient à lui donner chaud, l'air commençait à l'étouffer, sûrement du au fait de ce qu'elle venait d'entendre. Un virus mortel qui se propageait entre homme et animaux, c'était une nouvelle mondiale! Scarlett se dit malgré tout qu'elle ne devait pas s'inquiéter, et que ce genre de nouvelles sont souvent des ragots ou moins grave que ce qu'on en dit.
Une semaine plus tard, elle décida de séjourner quelques temps à l'Hôtel Bongruau, comme le Moulin Rouge avait été temporairement fermé du à la crise qui se propageait. En entrant avec toutes ses valises, un homme un peu étrange l'acceuilla et lui montra sa chambre, sans rien la faire payer. Elle se dit qu'elle reglerait donc sa facture plus tard et que c'était comme cela que ça devait fonctionner, ce qui n'était pas déplaisant!
Le matin, elle descendit à la cantine, pomponnée comme à l'habitude, mais le seul bruit perceptible était le son de ses talons qui tapaient contre le plancher. Elle était seule, ce qui était étrange pour l'heure où elle s'était levée. Scarlett descendit donc pour parler à celui qui l'avait acceuillie la vielle, et elle le retrouva bien confortablement couché sur son bureau.
« Quel manque de classe...» pensa-elle.
- Excusez-moi... Que se passe-il ici? Je venais simplement passé un petit séjour ici pour visiter le coin, et on dirait que cet endroit abrite des morts.
- Héhé, ricana-il toujours yeux clos, depuis la propagation du virus, les gens s'enferment croyant que c'est une bonne chose, et ils meurent comme des troupeaux de moutons. Mais ne t'inquiète pas, ils vont bientôt venir ici, l'entrée de l'hôtel est déjà à moitié souterraine, donc protégée du vent. On a isoler les fenêtres, et on a créer une structure près de la porte pour empêcher le vent d'entrer. Un des endroits les plus sûr pour ne pas tomber malade! Enfin, je dis ça comme ça.
- Je vois. Je ne savais pas que la situation était si critique...
- Elle l'est. Et si tu veux rester ici, và faloir que tu travailles. Tu fais quoi dans la vie?
- Danseuse.
- Hum, on a pas besoin de ça ici, har har! Tu peux partir, on devrait pas avoir besoin de toi.
- Attendez! Je peux...faire le ménage?
- Enfile un bel uniforme et c'est daccord.
Scarlett remonta dans sa chambre, et s'assit sur son lit, perturbée, les yeux vide.
« Ça ne peut être qu'une blague. »
Ce n'en était pas une, la situation s'aggrava. Les gens se ramassèrent effectivement en grand nombre à l'Hôtel Bongruau, et Scarlett gardait toujours sa chambre en échange de certaines tâches.
Profession: Ancienne danseuse, désormais servante de l'Hôtel Bongruau.
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Sujet: Lady Scarlett 
Jeu 23 Aoû - 21:59
